fredag 17 februari 2012

Voici ce qui fait peur a l Europe et principalement a la France( Nicolas Sarközy....)

 A Davos en janvier 2012, un continent s’est démarqué de la morosité ambiante. Pour Laurence Daziano, maître de conférences en économie à Science Po Paris, ce continent, c’est l’Afrique avec ses perspectives économiques prometteuses.
L’Afrique connaît des transformations profondes qui posent des défis d’une ampleur nouvelle. "Sous-continent indien" aux portes de l’Europe, elle compte aujourd’hui 1 milliard d’habitants et en comptera 2 milliards en 2050. Il naît chaque année plus d’enfants au Nigeria qu’en Europe ! Parallèlement, l’Afrique s’urbanise.
 Le défi urbain
 La population urbaine a été multipliée par quatre en 30 ans et cette croissance se poursuit. Des mégalopoles sont apparues : Lagos avec 16 millions d’habitants (bientôt 20), Kinshasa avec 11 millions. Le continent africain arrive à des densités démographiques proches de celles de l’Asie et de l’Europe.
 Cette urbanisation offre de nouvelles perspectives de croissance : elle accroît la productivité – la population urbaine y est quatre fois plus productive que la population rurale –, l’aide au développement est plus efficace, les services urbains se développent (eau, transports, propreté) et le coût d’équipement (infrastructures) y est plus faible et les entreprises, notamment les PME, se créent.
 Tous les indicatifs sont au vert
 Par ailleurs, les Etats africains ont rééquilibré leurs politiques macroéconomiques. Les finances publiques ont été assainies. Les termes de l’échange se sont améliorés. Et le moral est plutôt bon : selon le baromètre BVA de l’espoir économique, les Nigérians sont le peuple le plus optimiste de la planète – alors que les Français sont les plus pessimistes.
 Le Nigérian Aliko Dangote, l’homme le plus riche d’Afrique avec 14 milliards de dollars, dépasse ainsi d’une courte tête Marck Zuckerberg dans le dernier classement de Forbes.
 L’Afrique se situe structurellement sur un sentier de croissance de 6 % à 8 % selon la Banque mondiale ; les perspectives sont prometteuses et retiennent l’attention des grands patrons. "Les Africains veulent prendre leur part dans la globalisation et dans la croissance mondiale, et je pense que c’est légitime", a estimé Gérard Mestrallet, le président de GDF Suez, à Davos.
 Un nouvel "Eldorado"
 La nouvelle élite africaine ne le démentira pas. Car comme le souligne la ministre nigériane de l’Economie, Ngozi Okonjo Iweala, les mentalités sont en train de changer : "Il y a une nouvelle génération de leaders qui sont très conscients du fait que l’Afrique ne peut pas rester le continent des matières premières. Qu’il faut la transformer".
 Il n’en fallait pas plus pour susciter l’appétit commercial de la Chine qui s’est progressivement installée, absorbant 13 % des exportations africaines en 2011 contre 0,6 % en 1990. Et de son côté, le Brésil investit à tour de bras en Angola et au Mozambique.
 Au moment où l’Afrique s’apprête à sortir de la pauvreté pour devenir un moteur de la croissance mondiale, les candidats à l’élection présidentielle pourraient utilement s’intéresser à l’avenir de ce continent et songer aux futurs liens économiques et commerciaux à y développer.
 A titre d’exemple, les besoins d’infrastructures en Afrique sont estimés à 30 milliards de dollars par la Banque mondiale. De belles perspectives pour les entreprises Europeennes???
13ème sommet de l'Union Africaine à Sirte, LIBYE, 01/07/09

torsdag 16 februari 2012

Ouattara en France : comme au temps de la Françafrique ?


Cela faisait un petit moment que Nicolas Sarkozy n'avait pas accueilli un chef d'Etat avec un tel faste. De son arrivée à l'aéroport d'Orly mercredi 25 janvier à son diner d'Etat à l'Elysée le lendemain, le parcours du président ivoirien, Alassane Ouattara, lors de ces trois jours de visite, a été jalonné d'intentions toutes particulières.
Le journal ivoirien "L'expression" rapporte avec fierté les honneurs rendus à leur président : "Cinq sections de l'armée française ont été mobilisées. Trois de l'armée de l'air, une de la marine nationale et une des forces paramilitaires."
A son arrivée à l'aéroport, accueilli par le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, le ministre de la Défense, Gérard Longuet, au "son de musique de la garde républicaine", le chef d'Etat étranger a passé en revue les troupes. Ensuite, il a rallié la place des Invalides à bord "d'un hélicoptère présidentiel escorté par deux autres hélicos de combat".
De la place, Alassane Ouattara est monté à bord "d'une Citroën hors série blindée escortée par une centaine de motards de la police et de la gendarmerie. Le point de chute étant l'hôtel cinq étoiles Le Meurice où il a pris ses quartiers." Au programme de jeudi, le chef d'Etat ivoirien s'est rendu sur la tombe du soldat inconnu avant de remonter l'avenue des Champs-Elysées décorée aux couleurs des deux pays, sous escorte de la cavalerie. Sur le plan des symboles, Paris a décidé de frapper fort.
A l'ancienne
"On a l'impression que la France a accueilli Houphouët Boigny (premier président de la Côte d'Ivoire et acteur de la Françafrique, ndlr) au temps de la guerre froide!", s'étonne Antoine Glaser, ancien rédacteur en chef de "La lettre du continent", spécialiste de l’Afrique. "Il y a quelque chose de très rétro qui ne correspond pas à la mondialisation de l'Afrique. C'est un accueil anachronique, d'un autre temps".
En effet, d'avis d'observateurs, aucun chef d'Etat ivoirien n'avait eu autant d'honneurs depuis ceux qui avaient été rendus au père de l'indépendance ivoirienne. A l'ancienne, Nicolas Sarkozy renoue ainsi avec un protocole loin de la rupture et en contradiction de la distance qu'il avait dit vouloir mettre avec les anciennes colonies lors de son élection en 2007.
Pour le spécialiste, c'est "l'échec d'une politique d'ouverture, une forme de régression". "Nicolas Sarkozy a eu la volonté de sortir du pré-carré français. Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, s'est d'ailleurs appliqué ces derniers temps à se rendre en Afrique du Sud et au Nigéria délaissant les anciens partenaires. Voir aujourd'hui le président français recevoir Alassane Ouattara comme s'il représentait le pivot de la stratégie de la France en Afrique est un retour en arrière".
Une rupture non consommée
Et si la France n'avait jamais vraiment rompu son partenariat privilégié avec la Côte d'Ivoire ? C'est ce pense Gilles Labarthe, journaliste et auteur "Sarko l’Africain" : "On est dans la continuité de la politique françafricaine. La promesse de Nicolas Sarkozy de rompre avec les anciennes méthodes n'a pas été appliquée. Il poursuit la démarche de clientélisme initiée dans les années 1980. La différence aujourd'hui c'est qu'on est dans la période des fils à papa."
Le contexte a cependant évolué. L'interventionnisme français a largement diminué. Mais Alassane Ouattara est aussi venu à Paris pour remercier la France de l'avoir soutenu lors de l'épisode électoral. Les soldats français ont même aidé les Ivoiriens à déloger Laurent Gbagbo.
"Cet accueil en fanfare est aussi une manière pour Nicolas Sarkozy de s'auto-congratuler, de se mettre en valeur. Il estime que son action en Côte d'Ivoire a résolu le conflit et a aidé à l'instauration de la démocratie", estime Gilles Labarthe.
L'ami de Sarkozy
Les liens particuliers qu'entretiennent Nicolas Sarkozy et Alassane Ouattara peuvent aussi expliquer tout ce décorum. Les deux hommes ne cachent pas leurs années d'amitié. Le couple ivoirien avait été reçu l'année dernière par Nicolas Sarkozy et Carla Bruni dans leur résidence d'été en Cap Nègre. Martin Bouygues, ami du chef d'Etat français, a assisté au mariage d'Alassane Ouattara et de son épouse Dominique –qui a fait le voyage aussi. RFI rappelle que pendant la traversée du désert de Nicolas Sarkozy, après la défaite d'Edouard Balladur en 1995, Alassane Ouattara n'a jamais rompu les liens.
Intérêts économique, militaire et diplomatique
Bien sûr, même les non-avertis savent que les intérêts économiques priment et que derrière ces honneurs affichés se cachent la préservation de la cinquantaine de grands groupes français présents en Côte d'Ivoire. "Bouygues va avoir un troisième pont important sur la lagune, Bolloré continue d'être très bien implanté. Total, arrivé en même temps que Laurent Gbagbo, devrait signer un contrat d'exploration pétrolier pour un gisement très prometteur qui se trouve à la frontière du Ghana", détaille Antoine Glaser. Le groupe Accor devrait signer officiellement la reprise de l'Hôtel Ivoire à Abidjan.
Sur le plan diplomatique, l'influence de la Côte d'Ivoire reste importante. "On peut imaginer qu'aux Nations Unis, la France puisse obtenir le soutien d'un bloc de voix africaines sur les différents sujets, par exemple. Ce qui avait manqué à Paris lors de l'intervention en Libye", fait remarquer le spécialiste de l'Afrique.
Sur le plan militaire, la priorité a été donnée à la signature d'un nouvel accord de défense. Quelque 300 soldats français devraient rester stationner en Côte d'Ivoire. Certes loin des milliers présents il y a encore quelques années, mais suffisamment pour asseoir une présence française en Afrique.
"Cette présence équivaut à mon sens à l'installation d'une base militaire permanente en Afrique", juge David Mauger de l'association Survie qui milite pour plus de transparence dans les relations franco-africaines.
La réconciliation en France mais pas en Côte d'Ivoire
Surtout cette visite tranche fortement avec la situation sur le terrain. Alors que la France et la Côte d'Ivoire célèbre la "réconciliation", à Abidjan les populations ne sont pas encore prêtes à oublier les violences post-électorales. Mercredi 24 janvier, à Yopougon, un quartier d'Abidjan fief de l'ex-président Laurent Gbagbo, la justice ivoirienne a exhumé le corps d'un homme découvert dans une fosse.
L'existence de nombreuses autres fosses a déjà été signalées. Les Nations unis avaient déjà fait état en 2011 de la découverte de 68 corps dans dix fosses communes. Dans un rapport datant d'octobre 2011, l'ONG Human Rights Watch (HRW), a appelé le président ivoirien a accentuer ses efforts pour enquêter sur les auteurs des massacres et note une "approche déséquilibrée" de la quête de justice. "Le gouvernement Ouattara a pris des mesures louables pour poursuivre en justice certains dirigeants du précédent régime [...] Cependant, la justice doit être au service des victimes des deux bords qui ont vu leurs proches être tués [...] et ne peut être un outil au seul service des vainqueurs."
Dans le rapport 2012 de HRW, on peut aussi lire que "les initiatives de justice nationale partiale, dans le cadre desquelles aucune charge n’a été portée contre des membres de son camp, ont menacé d’approfondir les divisions entre les communautés et ont mis à mal le retour à l’État de droit". "Le Président Ouattara doit rapidement traduire en actes ses belles paroles sur la fin de l’impunité, en poursuivant de manière crédible ceux qui, dans son camp, ont commis des crimes graves", encourage le rapport. "S’ils (les bailleurs de fonds et les gouvernements) veulent que la Côte d’Ivoire redevienne le moteur pacifique et prospère de l’Afrique de l’Ouest qu’elle a été dans le passé, ces partenaires doivent s’assurer que justice soit faite, et de manière visible, pour les crimes commis par les deux camps".
Un sujet qui ne semble pas être la priorité de la rencontre entre Nicolas Sarkozy et Alassane Ouattara.

onsdag 15 februari 2012

"JUSTICE & VERITE Bouaké 2004" et "CÔTE D'IVOIRE POUR LE SURSAUT NATIONAL"

(CISN), en collaboration avec l’auteur Charles ONANA, lancent la 1ère dédicace mondiale du livre "CÔTE D'IVOIRE, LE COUP D'ETAT";

Date : Jeudi 8 Mars 2012
Lieu : Péniche Concorde Atlantique / Por...t Solférino
Face au quai Anatole France
... Paris 7ième
M° Assemblée Nationale
Heure : 14h à 20h

AGENDA
14h/17h
- Projection de films
- Conférence pour célébrer la Résistance Patriotique Féminine Ivoirienne en cette journée internationale de la femme, animée par une Africaniste.

17h/20h
- Conférence de Charles ONANA
L’analyse et la dédicace du livre "CÔTE D'IVOIRE, LE COUP D'ETAT" par Charles ONANA, l’auteur, viendront clore le programme.

Participation de gros tenors du barreau français; l'un commis à la défense du Président Gbagbo; l'autre, des intérêts de citoyens français victimes de ce COUP D'ETAT, le plus long du monde...
Des politiques français sont aussi annoncés.

Un cocktail sera servi à la fin de la cérémonie.

RESERVEZ VOTRE APRES-MIDI...

INFOLINE : 06 5946 8326 / 06 7630 2797 / 06 2033 5640
CONFIRMEZ VITE VOTRE PARTICIPATION !!!!!!!!!!!! GRATUITE !
ATTENTION, RESERVATION EXIGEE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Communication CISN"

Côte d'Ivoire. Chronique d'une guerre absurde montée de toute pièce par la france et leçon à tirer.


- Historique (contexte)

Le Président de la République SEM Laurent GBAGBO était en visite officielle en Italie quand éclata un coup d'état absurde dans son beau pays la Côte d'Ivoire. Le pape et le président français jacques chiraque le conseillèrent de ne pas retourner immédiatement dans son pays mais plutôt de venir se refugier dans les salons feutrés de paris! Chose évidemment que refuse le Woody de Mama! Lui qui ne connaît pas la peur comme certains (suivez mon regard!). Koudou dis-je, décide sans aucune difficulté ni hésitation de retourner vers les siens, de reprendre sa place à la tête de la vaillante armée d'Eburnie appelée FDS-CI (entendez Forces de Défense et de Sécurité de Côte d'Ivoire), puisque étant également chef suprême des armées, pour mener la bataille contre ces assaillants d'un autre âge.

- Héroisme du Président GBAGBO et de son armée

Ainsi, réorganisa-t-il son armée, l'équipa adéquatement et lança l'offensive contre les rebelles (Opération Dignité). Les FDS-CI firent mouche. Elles ridiculisèrent les assaillants en détruisant la majeure partie de leurs positions militaires! La france décida de stopper sans raison aucune cette belle initiative de reconquête de son pays par Laurent GBAGBO. En conséquence, elle détruisit tous les aéronefs de l'armée de Côte d'Ivoire de façon lâche et honteuse.

- Pour la france, il n'y a pas de solution militaire à cette crise puisque cela arrange Laurent GBAGBO 

A partir de cet instant, la france ne va plus cesser de nous rabâcher les oreilles avec sa nouvelle formule toute trouvée : " Il n'y a pas de solution militaire à cette crise"! Nous entendons encore le malhonnête dominique de villepin alors ministre dans le gouvernement de la chiraqie répéter sans cesse : " Il n'y a pas de solution militaire à cette crise"!, " Il n'y a pas de solution militaire à cette crise"! et patati et patata...

- Maintenant, pour la france, la solution à cette crise est forcément militaire puisque cela arrange plutôt ouattra (qui en réalité est son pion)

Et quand arriva la crise post-électorale après la volonté de dramane et de sarkozi de tordre le coup à la démocratie, la france a poussé la CEDEAO et bien d'autres pays et structures internationaux a opter pour la solution militaire dans cette même Côte d'Ivoire et dans cette même crise, mieux, voyant que les rebelles ne faisaient pas le poids et se faisaient corriger par le FDS-CI, la france elle-même est monté au charbon par le biais de sa force d'occupation en Eburnie, la licorne, pour abattre tout le travail avec ses légionnaires. Les FDSCI par hauteur d'esprit refusent de se battre avec la france car ce n'est pas elle l'adversaire.

- Conclusion, leçons et enseignements à tirer, espoir...

Conclusion, il y avait une solution militaire à cette tentative de coup d'état du 19 septembre 2002! Mieux, la solution pour le départ du préfet français dramane du pouvoir est militaire! Appel est donc lancé à tous les résistants (et surtout au MSD-CI) de se préparer pour cette échéance fatidique. A la brillante et brave population de Côte d'Ivoire, de garder son calme et de croire aux forces de libération de ce pays qui sont en préparation, qui ne dorment pas! Le combat sera long, difficile mais, avec DIEU au devant, nous vaincrons ces démons de la pire espèce.
DIEU bénisse garde la Côte d'Ivoire ainsi que tous ses résistants.

Valeria HENOMIA PhD Social Science.

Tete a tete Miaka le Pr Gbagbo a la Haye

torsdag 1 december 2011

Alassane Ouattara ou la soumission sans équivoque de la Côte d’Ivoire



Gérard Longuet devant l’Association des journalistes de défense (AJD), le mercredi 16 novembre 2011 évoque l’actuel processus de resserrement du dispositif militaire en Afrique et regrette que la Côte d’Ivoire n’ait pas remplacé le Gabon comme point d’implantation en ces termes : « On aurait choisi Port-Bouët, en Côte d’Ivoire si Ouattara avait été en place plus tôt ». Cette déclaration de Gérard Longuet donne un aperçu sur les missions pour lesquelles Alassane Ouattara est placé au pouvoir et combien cet homme serait capable de se fendre en quatre pour servir les intérêts de la France. Alassane est si soumis que la France ne doute un seul instant que s’il était placé un peu plus tôt, la Côte d’Ivoire aurait accueilli une base militaire française permanente sur son sol. C’est dire combien on est loin de Laurent Gbagbo.

Il faut préciser que le même Longuet affirme que « les unités ont une formidable capacité à être projetées, et on peut travailler depuis la métropole. » Travailler depuis la métropole ! Cela démontre combien la colonisation de l’Afrique est plus qu’une réalité.

Alassane Ouattara ou la soumission sans équivoque de la Côte d’Ivoire(4)



Revenons à la soumission sans équivoque ni retenue d’Alassane Ouattara à la France. Non seulement, on voit cette soumission à travers les relations militaires, mais on la verra également sur le terrain monétaire avec une possible dévaluation du franc CFA autour de laquelle la France travaille depuis un certain temps avec les ministres des finances et des gouverneurs des banques centrales ainsi que les présidents des institutions régionales de la zone franc. Le 19 septembre dernier, ces « élites indigènes » avaient été convoquées à Paris pour « discuter de la situation économique de la zone ». Un mois plus tard, devant la presse lors des « Matinales du gouvernement » du 24 novembre 2011[3], Mabri Toikeuse, ministre du plan et du développement du gouvernement Ouattara, déclarait que la dévaluation du franc CFA ne serait « pas une catastrophe ». Au contraire, il s’était réjoui « des retombées de la dernière dévaluation (1994) qui, selon lui, « a fait tomber une pluie de milliards dans ce pays. »